La croissance de l'entropie de désordre est réversible en incluant le paramètre de localité

Contrairement à ce qui est affirmé par la loi (locale)  de la thermodynamique, la croissance de l'entropie est réversible dans le contexte bien plus général de la dualité de localité.

Revenons au fonctionnement de nos oscillateurs subquantiques primordiaux.

Albert Einstein avait raison d'évoquer le continuum M, L, T. Mais il n'en connaissait pas la cause profonde. Dans l'oscillateur bipolaire OSCAR, la variation de l'inertie M ne peu s'exprimer que sur son vecteur "déplacement" L. Le temps propre T est induit par M et L

Le zéro de l'oscillateur bipolaire subquantique est donné par : M L T + M L' T' = 0.  On remarque que la formule respecte l'aspect scalaire de la masse M (pas de direction privilégiée). C'est son lien indéfectible avec L (M L') qui la rend sensible à l'aspect vectoriel.

Ainsi une infinité d'oscillateurs bipolaires revient à une infinité de zéros parfaits. Seulement la "perfection" théorique des zéros n'est pas réaliste !  En effet, il faudrait vérifier une parfaite déconnexion relative pour une infinité de cas !  Statistiquement, la probabilité de  connexions parasites n'est pas nulle.

Un  parfait désordre n'a pas d'avenir ! Cela veut dire que la croissance de l'entropie de désordre n'est pas une fatalité, comme on le prétend.

Dans cet ensemble infini de zéros, réputés non locaux (au sens où il sont déconnectés les uns des autres), des localités parasites apparaissent forcément dans le potentiel infini de brassages relatifs. Ces localités s'expriment par des fusions de points zéros. Cela se traduit par un flux de synchronisation. En effet si deux ou plusieurs points zéros fusionnent, la moyenne de leurs paramètres aléatoires, crée un continuum de paramètres communs. (c'est le début de l'apparition des constantes à partir de moyenne de paramètres aléatoires).     

Cette synchronisation, initialement découverte par Huygens, s'est révélée ces derniers temps,  bien plus universelle que celle des horloges mécaniques de Huygens. Elle se vérifie dans les oscillateurs quantiques. C'est un véritable  attracteur universel. Dans le détail, on montre que ce flux de synchronisation forme un Condensat de Bose Einstein (BEC)  dans un rythme qui s'accélère avec la densité ! Cela veut dire que, passé un point critique, le rythme s'accélère ensuite.

Cela se termine forcément par une saturation et c'est là que tout recommence !         

Bien sûr la phrase que tout parent a prononcée à ses enfants : "ta chambre ne va pas se ranger toute seule !" garde tout son sens dans notre monde macroscopique. Cependant, dans le monde subquantique, cela est faux : la "chambre" finit par se ranger toute seule.

        

Commentaires

  1. J'insiste sur ce passage :

    " .. Ainsi une infinité d'oscillateurs bipolaires revient à une infinité de zéros parfaits. Seulement la "perfection" théorique des zéros n'est pas réaliste ! En effet, il faudrait vérifier une parfaite déconnexion relative pour une infinité de cas ! Statistiquement, la probabilité de connexions parasites n'est pas nulle...".

    Il s'agit encore et encore de perturbation tout comme traité ici : → http://www.cosmologie-oscar.com/index.php#36

    Toute tendance vers un état parfait ( soit entropie maximale ou entropie minimale) induit forcément une PERTURBATION. C'est la clé du rebroussement ou de l'inversion de la courbe pour réaliser un cycle.

    Dans la phase stochastique, statistiquement non connexe, il y a tout de même quelques connexions qui "tentent" d'amorcer quelques flux de synchronisation. Même si la plupart échoue, le potentiel est tel qu'il amène à une probabilité unitaire de créer un BEC.

    Dans la phase saturation du BEC, c'est la superposition des sites de tachyons qui annulent localement les charges tout en additionnant les masses. La réponse est la délocalisation de la première couche de tachyons et sa transformation en paires électron-positrons.

    Dans la phase actuelle, la simple présence (perturbation) de matière dans le tissu d'espace-temps, induit l'habillage (massique) des électrons et son anomalie du moment magnétique. Mais si la matière est accélérée, alors la perturbation "pompe" la masse des tachyons et c'est l'effet de la relativité restreinte.

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  2. Bonjour,
    j'ai une question qui me revient à l'esprit en lisant ce post. Si M et L sont le reflet l'un de l'autre, pourquoi M serait scalaire et L vectoriel ? Ne sont-ils pas les deux alternativement, ou les deux en même temps, ou que leur produit soit à la fois les deux ?
    Si dans la phase stochastique, le phénomène de synchronisation permet à la chambre de se ranger toute seule, qu'elle est la perturbation qui permet l'augmentation de l'entropie dans notre bulle univers? (serait-ce la matière et donc la gravitation?)

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  3. En fait c'est surtout pour coller à la physique macroscopique que je me conforme à la règle du M scalaire. Si M est regardé à l'échelle macroscopique alors il indépendant de L et son statut scalaire est bien justifié.

    Mais si M est regardé comme indissociable de L alors il perd ce statut et il est donc bien le reflet de L.

    Il s'agit de l'augmentation de l'entropie du tissu subquantique ! Donc c'est la matière qui le perturbe et l'entraine à se désagréger.

    Pour la matière c'est la gravitation qui assure à terme, le recouvrement de tous les "séparés". Mais ce recouvrement s'opère via les collisions d'une manière non binaire (analogique) → c'est la matière noire qui à terme disparait complétement.

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  4. Merci !
    à l'échelle macroscopique, la masse M est-elle l'expression:
    - de la somme des masses des électrons/positrons qui la composent ?
    - de la "concentration d'inertie" qui oscille sur une très petite distance L (et donc grand M)?
    - de la somme des masses d'habillage délivrées par le réseau de tachyons liés, à cause des perturbations de la matière ?

    à l'échelle subquantique, M et L étant le reflet l'un de l'autre, les kg et les mètres ont-ils un sens physique? Ont-ils un sens tout court ?

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  5. A l'échelle macro la masse M est bien la somme des paires électron-positrons. Mais elle est également la moyenne pondérée des diverses fluctuations sur leurs L respectifs.

    Comme elles sont habillées, elles représentent un peu plus que la masse nue.

    Il est difficile de donner un sens de type "macro" à l'entité subquantique MLT. Cependant, je pense qu l'idée de la corde est significative. Mais cette corde ne donne pas M et L en même temps (le déphasage fait que c'est l'un ou l'autre).

    Analogie : si l'inertie M est la sagesse alors elle est sensée modérer dualité qu'est la folie L à venir. Un manque d'inertie-sagesse (M → 0) donne en reflet, une très grande amplitude. En fait l'agitation de M → 0, est telle que son temps propre d'un cycle (T→ 0) lui permet une amplitude limite infinie. Un M = zéro parfait, signifierait un temps nul et donc une vitesse infinie. Cela est impossible car non évolutif et non justifiable.

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