D'où vient la fameuse constante de structure fine = 1/137,03599.. ?


Cette constante a (alpha) est omniprésente dans les ratios entre les constantes physiques des particules quantique.  Devant cette constante, il existe deux types de comportement parmi les chercheurs : a) la recherche de sa cause se fait sur le mode numérologique (sorte de croyance dans les nombres magiques) ; b) on ne s'intéresse qu'aux effets et non à sa cause physique. 

Le modèle OSCAR interprète la "constante de structure fine"  comme un "ratio d'intervalle élémentaire".  Sur la surface (2D) du BEC primordial, cet intervalle se confond avec le rayon élémentaire.  Ensuite il démystifie sa forme : 1/137,035999 = 0,007297352 en 137,035999. Cela ne change rien sinon de le rendre plus intelligible en le permutant sur la barre de fraction. 

Le modèle standard traine un mystère sur l'électron : les lois physiques exigent une stricte équivalence entre énergie électrique Q = f(e) et énergie de masse, E = m c².  Pour que cette équivalence se vérifie, il faut prendre un rayon r que l'on appelle "rayon classique"  et que l'on ne mesure pas ! On mesure bien un rayon l (longueur de Compton) mais il est juste 137,035999 fois plus grand

On a vu que l'origine de la bulle univers en expansion était une sphère (BEC). Ce BEC était matérialisé par des oscillateurs dipolaires tous reliés par le centre commun du BEC. On a vu que cela se traduisait par des couches espacées de l (Compton).  Ensuite, le flux saturant sur la surface de la couche la plus extrême, diminue l'intervalle jusqu'à atteindre l'épaisseur d'un oscillateur.  Or cette épaisseur (après mitose) est justement r, le rayon classique !

Cette superposition généralisée additionne les masses et masque les charges (+ et –) alternées. Cela amène à la séparation généralisée (délocalisation) des dipôles qui deviennent des monopôles électriques. Cela veut dire que chaque oscillateur passe de la grande amplitude (radiale) du BEC à la petite amplitude (tangentielle) de l'électron.  Comme L × M = constante, la masse grandit d'autant ! On passe du tachyon à l'électron !  

Mais cette séparation (délocalisation) subit un taux d'échec. Pourquoi ?  Parce que le régime analogique oscillatoire, passe en mode binaire, dans un laps de temps paradoxal où des paires électron-positrons opposées sont déjà formées sans être déjà séparées. C'est donc une annihilation avec émission de chaleur intense ! Cela veut dire que le nombre des rescapés en 2D, est a² fois plus petit que le nombre originel ! Ces trous font que l'intervalle élémentaire (1D) grandit du facteur a.

La taille du BEC primordial est vérifiée par plusieurs voies différentes. Eh bien le calcul montre que la chaleur du fond diffus a pour origine la température de l'électron. Cette température amortie en 1/R² donne celle du fond diffus d'aujourd'hui!

Les trous creusés par l'annihilation a agrandi les intervalle r  du fameux facteur 137,035... Mais il y autre chose : La saturation du BEC n'a pas seulement séparés les éléments de la première couche (la matière) mais a déclenché la mitose du BEC (l'espace-temps).  Les lois d'un BEC sont connues et disent qu'il ne saurait survivre (juste avant annihilation) avec un intervalle radial 137 fois plus grand que son intervalle tangentiel (exigence d'isotropie) !  Donc la séparation est concomitante à la mitose

Donc, dans l'instant paradoxal de la séparation généralisée, l'énergie électrique de l'électron naissant, était parfaitement en accord avec son énergie de masse (m c²).  Alors au lieu d'appeler ce rayon "le rayon classique" ou devrait l'appeler le rayon de Compton originel ou l'intervalle originel.  La dénomination "classique" qui veut dire "non quantique", trahit l'idée que l'on a mis tout ce que l'on ne comprenait pas dans cette théorie quantique.              

Ainsi le taux d'annihilation (137,03599) est purement aléatoire. On devrait l'appeler le taux d'échec de la délocalisation primordiale. Ce taux donne le départ de la mitose concomitante qui se réalise en 5+1 étapes successives, à ce taux . En 1D on a donc un taux total de division de :  a6.  et donc  a12 en 2D. Le taux de cette mitose fractale est également commandée par le ratio (aléatoire) hérité des oscillateurs synchronisés. Ce ratio, donné par :  ξ4 = longueur/épaisseur, est également la clé de la cause de la gravitation. Le modèle démontre que la taille de l'électron est ξ fois celle de l'épaisseur du tachyon. En 2D la mitose créé ξ2 BEC-étoiles ce qui augmente la surface du même taux : ξ2 = 1022.

Donc l'annihilation agrandit la surface élémentaire (2D) du facteur a2, et la mitose du facteur ξ2 ET a10.  En tenant compte de l'annihilation on a donc un taux d'agrandissement des surfaces élémentaires de :  a12.  Ces deux ratios, de sources différentes et aléatoires, n'ont aucune chance d'être égaux ! Il faut donc une variable physique d'ajustement. Elle est juste la  clé du proton !           
















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