L'univers à partir de "rien", pour les nuls (4)
La
cause du BIG BANG
Pour le modèle standard, le BIG BANG est un
événement mystérieux. Ceux qui s'avancent à vouloir en chercher des
causes, tombent dans le piège de la localité !
Ils s'appuient (avec raison) sur le phénomène de fluctuation autour
du zéro selon les les lois constatées localement. Mais ils
n'ont pas réalisé que cette fluctuation autour du zéro doit
impérativement être de type dual et
symétrique pour justifier un bilan énergétique
strictement nul. Ceci est la seule et unique façon de construire un
zéro physique relatif, qui n'a rien à voir avec le zéro
mathématique absolu et artificiel ! D'autres, disent : "puisque
l'on ne peut justifier l'origine des fluctuations alors autant
arrêter nos investigations à l'étape BIG BANG sans chercher à
comprendre son origine". C'est le fameux Fiat Lux à caractère
mystique, qui contentent tout le monde ! Tout le monde ?
Non il reste un village ......
Le billet précédent évoque un des processus qui
condensent des bosons en un BEC. Un seul ? Non plusieurs
mais....... Le modèle OSCAR montre pourquoi celui qui est le plus
avancé, sera le seul élu ! En effet, plus un BEC
est dense (rempli) plus il accélère son pouvoir attractif sur le
flux des oscillateurs anarchiques. Cela amène aléatoirement à un
seul « élu », le BEC le plus en avance. l'adage « plus
on est riche, plus on le devient » est une analogie recevable.
Ainsi donc, le BEC est alimenté par un flux
d'oscillateurs aléatoires qui fusionnent* et donc se synchronisent
en s'harmonisant avec ceux déjà en place. Le modèle montre que cet
apport ne fait pas changer l'intervalle entre les couches, mais fait
juste diminuer l'intervalle entre oscillateurs sur chaque couche. Il
y a donc un moment précis, que nous appellerons phase
I, (I comme Isotrope) où la densité est telle
que cet intervalle est identique à l'intervalle entre les couches.
Mais le flux de migration se s'arrête pas pour autant ! Donc
au-delà de cette phase, le BEC commence à se trouver en
déséquilibre. Sa seule solution serait de se diviser (mitose*) pour
compenser la diminution de ses intervalles élémentaires !
Mais la force qui lie tous les oscillateurs l'en empêche.
L'augmentation du flux arrive à un terme
infranchissable : la saturation de la première couche par
superposition ! Cet instant est
précieux car toutes les constantes physiques dont nous sommes les
héritiers, viennent de là ! Les forces qui liaient les
éléments de la première couche, disparaissent et ouvre ainsi
brutalement, le retour à l'équilibre des intervalles par mitose.
Pour aller plus loin, il nous faut faire une carte d'identité du BEC
SATURE ou en phase S.
Les notion d'intervalle,
superposition, fusion
et couches sphériques,
se retrouvent à toutes les échelles de
l'univers ( expansion, BEC et proton)
* la fusion et la mitose équivalent toujours à un changement de localité.
8.
Les constantes du BEC saturé
Le modèle OSCAR démontre rigoureusement que les
deux branches d'un oscillateur synchronisé sont « matérialisées »
par les ancêtres du couple : électron (signe –) et positron
(signe +). Ils ont exactement la même signature M × L. Par défaut
nous appellerons ces ancêtres, paire de tachyons.
Il eut été plus rigoureux de les appeler : « onde
étendue de l'électron-positron » mais avouez que
c'est trop long. Or le L de l'électron est exactement celui de
l'intervalle idéal qui sépare deux tachyons, en phase
I. On l'appelle « onde de Compton » de
l'électron (Le).
Un petit rappel avant d'aller plus loin :
quand un très grand (ou un très petit) nombre comporte beaucoup de
zéro, il existe un moyen simple de l'exprimer : on indique
juste le nombre de zéro à l'exposant : par exemple : 10
se dit 101 ; 1000 se dit 103 ; 100
000 → 105 ; 0,01 → 10–2.
L'exposant (–2) compte les deux décimales après la
virgule.
Pour simplifier, nous donnons ci-après, les valeurs
approximatives. Cependant vous trouverez
ici les valeurs extrêmement précises de ces données en
traduisant ξ3
= K avec xi,
le x
grecque :
- Intervalle élémentaire entre deux couches
successives : Le = 10–13
m
- Rayon du BEC : R = Le ×
K = 1021 m (150 000 années lumières)
- période ou temps
élémentaire (période mesurée de l'électron) : T = 10–21
secondes
- ratio R / Le =
K = xi3 = 1033 !
Le ratio xi3 est donc le nombre de couches de tachyons. D'entrée on voit que la période d'un tachyon (identique à celle de l'électron) s'étend sur une longueur xi3 fois plus grande ! Cela veut dire qu'il va xi3 fois plus vite. Avec ce que l'on a vu : ML = constante on en déduit de suite que M tachyon (Mt) est donc xi3 fois plus petite que celle de l'électron.
9.
Les conséquences de la saturation
Juste avant Saturation – la
phase S –
les couches du BEC sont pavées par une alternance de tachyons + et –
très serrés. La saturation est provoquée par la superposition
de tous les tachyons voisins, pavant la seule première couche à
être saturée. L'intervalle est égal à l'épaisseur des tachyons !
Cette fusion par les bords extrêmes est très différente de celle
par le centre. Les charges électriques de la première couche
(fonction de ML*) s'annulent mais les masses s'additionnent !
L'annulation des charges revient à briser d'un coup, tous les liens
unissant les bosons.
La superposition des tachyons voisins,
en brisant tous les liens des ex bosons-zéro,
fait passer les paramètres MLT de l'état
virtuels à l'état apparent !
- C'est l'origine du temps consolidé !
- Le nombre de masses élémentaires (électrons
ou intervalles) de cette première couche, devrait idéalement
être donné par le ratio des surfaces : R² / Le² soit
K² = xi6 = 1066.
Mais ce
n'est pas le cas puisqu'on a vu que la phase I
(isotrope
ou identique dans tous les sens) était
largement dépassée. Donc pour la phase S,
il faudrait démultiplier le BEC initial en N²
BECs-fils identiques en taille, (donc moins denses) en étirant
les intervalles élémentaires à Le, pour qu'ils deviennent
isotropes. On aurait alors les intervalles élémentaires
initiaux qui donneraient exactement le nombre de paires
électron-positrons pavant la première couches saturée.
Cette première couche en 2D est pavée
d'électron-positrons alternés et délocalisés.
Ont-ils tout perdu du lien originel qui les unissaient à leur alter
ego ? La réponse est non. Il reste la charge d'attraction
originelle mais relayée et amoindrie par le nombre d'éléments n
pavant la demi-circonférence du BEC. Avec l'intervalle Le,
il y aurait eu : R / Le = xi3
éléments. Mais en réalité, il y en a : n = xi3
× N avec N inconnu.
* La charge électrique élémentaire (e)
est fonction de la racine carrée du produit M × Le, de
l'électron. On voit bien que l''existence de ML est strictement
compensée par la charge qui assure le lien avec l'alter ego pour
l'annuler !
Pour en savoir plus : modèle OSCAR
Pour en savoir plus : modèle OSCAR
J'espère que les xi ne gênent pas trop les non initiés.
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