La bulle-univers comme un hologramme de VERLINDE
Erik
VERLINDE propose un
modèle d'univers holographique où toute l'information est contenue
sur sa couche externe en 2D. Il propose également que l'entropie de
type informationnelle puisse être équivalente à l'entropie de type
physique. Enfin il met en avant une formule simple où l'aire A de
l'hologramme univers, donne le nombre de bits N qu'il contient
selon cette formule (en page 8 du lien) où les dimensions
physiques s'annulent :
N
= A c3 / G ħ
Il
se trouve que ces trois propositions sont en parfait accord avec le
modèle OSCAR.
Pour se rendre compte des similitudes il faut procéder à un
petit résumé du modèle OSCAR. Il indique que l'univers est dual
car composé d'une bulle en expansion, plongée dans sa matrice
stochastique, contenant un nombre infini
d'oscillateur-boson-dipolaires représentant chacun le zéro parfait.
Ces zéros dipolaires (cordes 1D) annulent strictement leurs paramètres
M, L, T qui animent leur oscillation. L'entropie informationnelle est
alors infinie. Le temps ne s'écoule donc pas et un brassage intense
et aléatoire, se produit entre ces bosons statistiquement non
connexes. La probabilité de fusion entre bosons, par leurs « points
zéro », n'est pas nulle. Ainsi un nombre aléatoire N de
bosons, sera amené à fusionner graduellement en se synchronisant.
Cela forme un BEC
virtuel (ou purement informationnel) où le flux de
synchronisation croit d'une manière exponentielle. Le centre du BEC
est le lieu de fusion des points zéro, où sont émis et
réceptionnées, alternativement, les bosons en couches 2D qui se
comportent donc comme un oscillateur collectif. Le 3D virtuel est
ainsi constitué par une localité étendue à tout le BEC via son
point zéro commun.
Le
modèle OSCAR montre :
a)
que l'intervalle entre deux couches consécutives est égal à la
longueur de Compton de l'électron soit ƛe ;
b)
qu'il existe le ratio universel ξ
= 1,54581978898× 1011 =
f(α)
dont la source est liée à la moyenne des paramètres physiques du
lot aléatoire des N boson-dipolaire-oscillants primordiaux (1).
Le
flux de synchronisation amène une situation saturée. Ainsi, la
couche externe est pavée de bosons dont l'intervalle est réduit au minimum à
l'épaisseur d'un boson, selon : ƛo
= ƛe
/ ξ.
Pour raison d'équilibre (isotropie du BEC) chaque aire élémentaire
doit donc s'élargir
du facteur ξ².
La seule solution pour
retrouver l'équilibre est la mitose
en ξ²
BEC-fils, tous de rayon
: R = ƛe
ξ3
= ƛ0
ξ4.
C'est le rayon d'un halo de galaxie. Le modèle montre que chaque
BEC-fils est la matrice de type espace, d'une étoile, sous forme de
halo. Or le modèle indique qu'une galaxie typique (primordiale) est
composée de ξ
étoiles. Cela est compatible avec les estimations les plus récentes.
La
saturation de la première couche, génère une superposition des
bosons voisins ! Chaque charge coulombienne e, des
oscillateurs dipolaires, s'annule et tous les bosons se « séparent » en 2 monopôles (+/–).
C'est en fait, une réduction de
localité : R / ξ4
= ƛ0.
Chaque lien radial coulombien et individuel, devient un lien
tangentiel gravitationnel, collectif. La réduction
de localité réduit la force coulombienne du ratio
ξ4 (nombre d'éléments sur une géodésique de l'aire). C'est bien ce que montre cette relation
physique connue. Cette même réduction spatiale transforme les
corde-bosons (séparées) en paires électron-positrons alternées (2).
L'aire
A = 4 π
R² de la couche
externe, contient donc (ξ4)²
= ξ8
paires électron-positrons. Comme le BEC comporte ξ3
couches, il est donc fait de : N = ξ11
boson-oscillants dipolaires synchronisés. Ces ξ11
bosons matérialiseront l'espace-temps 3D alors que les
ξ8
paires
de l'aire, formeront la matière. Si on applique au BEC fossile, la
formule de VERLINDE en tenant compte de la mitose (à venir), on
obtient en première analyse :
No
= 2 ξ²
A c3 / G h
=
ξ12
>
ξ11
Ici
la constante de Planck est non réduite. Ce résultat est
remarquable car il considère une isotropie des intervalles, ce qui
n'est pas le cas. Il fait comme si la réduction d'intervalle était valable
radialement, ce qui impliquerait
ξ4
couches pour ξ3
en réalité. Ainsi on obtient le nombre fossile de bosons
synchronisés en corrigeant avec le taux de distorsion, ξ–1 :
N
= 2 ξ²
A c3 / G h
ξ
=
ξ11
Cela
confirme que la formule DE VERLINDE implique une isotropie des
intervalles élémentaires du treillis structurant l'espace-temps. Si en revanche, on élimine toute correction (ξ),
cette formule donne le nombre caractéristique d'une galaxie typique
avec ces ξ
BEC-étoiles très enchevêtrés :
NG
= 2 A c3 / G h
=
ξ10
L'équilibre
parfait de la formule (sans correction) induit un N compatible avec
une galaxie typique. Ce explique la cause
de la division de la bulle-univers, en galaxies. Cependant, il faut
insister sur le fait qu'il s'agit de galaxies primordiales, non
encore perturbées et modifiées par les collisions durant la phase
expansion. Il vient que l'espace-temps de chaque BEC est structuré
par ξ9
boson-oscillant-dipolaires, alors qu'il ne contient que : ξ8
/ ξ2
= ξ6
paires d'électron-positrons (3). Donc
chaque volume élémentaire (Compton), contient ξ3
boson-dipolaires (4). Ils sont toujours
sensés représenter le zéro physique mais hors perturbation. Or la
matière apporte des perturbations qui affectent la symétrie
spatiale des bosons. Ce déséquilibre déclenche une extraction de
masse virtuelle qui « habille » les particules de
matière.
Sur
l'hologramme fossile saturé, émerge la
constante G relativement aux ξ4
paires contenues sur une géodésique (1D) de
son aire. Mais après mitose, il convient d'appliquer le coefficient
de distorsion ξ
à la constante de Newton
G, si on souhaite retrouver le nombre de boson-oscillants par
unité d'aire de chaque volume élémentaire.
Ne
= 4 π
ƛe²
c3 / G h
ξ
=
ξ3
Ce
qui est cohérent avec le modèle et certaines mesures (5).
On peut enfin considérer l'intensité gravitationnelle ramenée
à sa source coulombienne (Go = G ξ4)
appliquée à chaque aire de volume élémentaire :
Ne1
= 4 π ƛe²
c3 / Go h
= 1
Avec Go = ξ4 G = α e² / 4 π εo me². Erik VERLINDE a raison de considérer la constant G comme émergente et non fondamentale (6). Elle n'est qu'un gradient de la force coulombienne. D'ailleurs le modèle OSCAR montre que toutes les forces sont dérivées de la force coulombienne. On obtient donc l'unité informationnelle du volume élémentaire, relatif à la force coulombienne. Cette dernière relation s'écrit également avec les seuls paramètres de l'électron ( ƛe, me, te), soit :
Neo
= ƛe²
(ƛe
/ te)3/ (ƛe3
/ me te²)
(me ƛe2
/ te)
= 1
Neo
= (ƛe5
/ te3)
/ (ƛe5/
te3)
(me
/ me)
= 1
La
cohérence du modèle OSCAR se trouve renforcée par la formule de
VERLINDE. En outre, il
indique que le logarithme
népérien du nombre originel de paires électron-positrons, induit
la masse brute du muon, en unité électron habillé (7)
: mμo
= ln ξ8
= 206,11192
= 105,322 MeV
et obtient la masse brute du méson π en
unités électron habillé, selon :
mπo
= ln (ξ11/
α4)
= 134,7618
MeV.
En conclusion on peut dire que le BEC originel est un empilement d'hologrammes dont chaque aire est pavée de bosons 1D. Il y a ainsi la progression suivante :
- a) N (aléatoire) cordes 1D (zéro dipolaire par masquage M L T ; non connexes avec entropie informationnelle maximale) → N cordes 1D fusionnées formant BEC (zéro collectif) en n couches 2D formant une sphère dynamique 3D liée par une vitesse co (4D = co T) avec entropie minimale.
En conclusion on peut dire que le BEC originel est un empilement d'hologrammes dont chaque aire est pavée de bosons 1D. Il y a ainsi la progression suivante :
- a) N (aléatoire) cordes 1D (zéro dipolaire par masquage M L T ; non connexes avec entropie informationnelle maximale) → N cordes 1D fusionnées formant BEC (zéro collectif) en n couches 2D formant une sphère dynamique 3D liée par une vitesse co (4D = co T) avec entropie minimale.
- b) saturation/mitose + réduction de localité → apparition M L T + expansion et début de l'augmentation de l'entropie physique → retour progressif à l'état (a).
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(1) La moyenne synchronisée du lot aléatoire virtuel N, fixe le ratio ξ4 entre l'amplitude R des bosons et leur épaisseur, b. De plus elle fixe l'intervalle spatial du "flou zéro" à ƛe et la période d'oscillation à te. Ce temps est relatif aux ξ3 couches (R) et l'intervalle entre deux couches : = to = te / ξ3. Cela induit une dualité de vitesse : a) co = R / te et donc la future vitesse de la lumière : b) c = ƛe / te = co / ξ3 . Dans le référentiel confiné de chaque branche de boson-oscillant, les paramètres M L T "cherchent" en vain, le zéro parfait. Dans le référentiel des deux branches opposées (le boson), M L T sont strictement annulés. C'est l'ontologie du zéro physique très différent du zéro mathématique.
(2) Ces paires créées par réduction de localité, sont très différentes de celles créées localement. Malgré leur spin 1/2, elles se comportent comme des quasi bosons tant qu'elles ne croisent pas leur alter ego, séparé d'un angle π. Lorsqu'il y a collision de galaxies, les paires constitutives se dégénèrent en fonction de l'angle relatif qu'elles présentaient sur le BEC d'origine. C'est la cause de la DM. On observe bien que les collisions provoque un nuage de DM. Voir La loi restreinte de KOIDE-MAREAU et son extension aux baryons.
(3)
Le modèle montre – tout en levant l'énigme du rayon classique –
que la mitose provoque une annihilation qui élargit les intervalles
du ratio α
= 137,035999 ! Ainsi, l'univers hologramme 2D voit sa masse
totale réduite du facteur α².
Ainsi la masse typique des galaxies, est compatible avec les
estimations.
(4)
les oscillateur-bosons-1D, forment un treillis et sont tous reliées
à vitesse : co = ξ3
c, par le centre
du BEC : Δt = 1,288×10–21
s. Dans ce laps de temps le photon parcourt l'intervalle élémentaire
à vitesse c, à cause du pouls du BEC. Pour respecter une densité
homogène, les boson-oscillateurs sont forcés d'avoir une
trajectoire hélicoïdale qui est la source du spin des particules.
C'est la raison pour laquelle l'intrication est à localité
étendue.
Attention l'univers n'est pas non
local comme a dit
BELL, car cela supposerait une spéculative vitesse infinie. Avec
MAGNAN du Collège de France, nous répétons que l'infini et le zéro
du mathématicien, sont incompatibles avec la physique.
(5)
Chaque volume élémentaire comprend une dimension de jauge de ratio
ξ.
Par exemple, la limite d'énergie des rayons cosmiques vaut
exactement ξ
noyaux d'hélium.
(6) La constante de Planck n'est pas non plus fondamentale car elle est construite avec les seuls trois paramètres M L T de l'électron : h(bar) = M L² / T.
(6) La constante de Planck n'est pas non plus fondamentale car elle est construite avec les seuls trois paramètres M L T de l'électron : h(bar) = M L² / T.
(7)
Entre autres, le modèle révèle un lien inédit entre le muon, le
proton et l'anomalie du moment magnétique de l'électron en
réalisant une occurrence numérique inédite à 12 décimales.
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