Le « champ » de Higgs ou le chant du cygne ?
Tout
le monde (ou presque) a entendu parler de la fameuse découverte du
boson de Higgs. Il devait résoudre l'énigme (pour le modèle
standard) de la masse du proton (donc de la matière). Nous allons
faire le tri entre ce qui est spéculatif
et ce qui ne l'est pas. Il y a déjà la pudique appellation
« champ » pour désigner le « vide qui
n'est pas vide ». Pourquoi cette pauvreté du vocabulaire ?
C'est la conséquence de l'approche abstraite et mathématique où la
physique est modélisée en êtres
mathématiques. Les équations de Maxwells décrivent
parfaitement tous les comportements (les effets) électromagnétiques
mais que disent-elles sur les causes ? Rien ! Est-ce gênant
pour la technologie ? Non ! Mais pour le chercheur en physique ?
Oui ! On retrouve le choix binaire de l'école de Copenhague où
la description seule a pris le pas sur
l'explication. Si on peut effectivement
utiliser l'abstraction « champ », le physicien
doit se demander quelle est sa structure physique, comment et
pourquoi fonctionne-t-elle ?
Le
modèle standard considère que pour tout type de « champ », il
existe un boson d'échange. Mais là encore, « la manie de
classer sans comprendre » ferme les voies explicatives. Le
modèle Oscar
donne cette définition à la vague notion de « champ »
:
L'espace-temps
est un tissu subquantique de dipôles oscillants (zéros relatifs)
ayant
centre
commun dans le BEC. Ces zéros physiques dépendent de la bonne
symétrie
des
deux pôles formant le dipôle. Pour toute perturbation quantique de
symétrie L,
les
dipôles compensent par l'extraction d'une masse M.
C'est
l'expression première du puissant principe de dualité
de localité.
Le
rôle de ML : regardons ce qui se passe du
seul point de vue « boson », dans plusieurs
cas de perturbation de la dualité {quantique/subquantique} :
1/
réaction neutron → proton : le niveau quantique perd un
taux d'habillage sous la forme de l'émission neutrino. Cela modifie
la symétrie L des dipôles concernés avec le temps court dû à la
grande vitesse subquantique. Les dipôles émettent un M éphémère,
le boson W. La constante M L exige un M (W) fort, pour compenser la
réduction de localité de
L. En effet elle passe de la taille immense du BEC à celle du boson
émergeant au niveau quantique.
2/
collision entre protons : l'énergie quantique brise
totalement la symétrie des dipôles concernés à la vitesse
subquantique. Les dipôles émettent un M éphémère, le boson H
(Higgs). La constante M L exige un fort M (boson) pour compenser la
réduction de localité de
L. En effet elle passe de la taille immense du BEC à celle d'une
particule quantique. Ce boson H est de la même famille que le boson
W (voir ceci
tableau 44-2 ligne 9 & 10). Leur valeurs précises ont été
publiées en 2012 dans l'ouvrage « l'univers
miroir ».
3/annihilation
d'une paire locale d'électron-positron : l'énergie quantique se
dissipe à vitesse c sous la forme d'oscillateurs transverses
{quantique ↔ subquantique} qui annulent les masses. La dissipation
prend deux formes : onde OU corpuscule (photon) selon si on
mesure (perturbe) ou pas. Les photons apparaissent s'il y a
réduction de localité.
Cette réduction de localité est la preuve de la dualité
{quantique-subquantique}. Il y a un état évanescent étendu (L)
(grande vitesse des oscillateurs connectés entre eux) et un état
quantique à localité retreinte (2 M annulés dans le dipôle
transverse). Toutes les expériences ne montrent que cela !
4/
interaction forte : selon le modèle standard, c'est
l'énergie quantique qui lie les bosons (gluons) aux quarks pour
rendre cohérents les baryons comme le proton. Là l'erreur est
totale car toutes les particules composites sont des empilements de
couches d'électron-positrons (1). Les
quarks de masse M, n'étant que des inductions qui viennent corriger
la symétrie spatiale L locale (voir
ce billet) dans le cadre de la constante ML. Le modèle standard,
qui a construit le proton comme un être mathématique, n'a plus –
comme recours ultime – que d'essayer désespérément de justifier
la source de la masse du proton venant du « champ
scalaire ». Bien sûr ce « champ » existe mais
pas comme un être mathématique abstrait! C'est la structure
physique du tissu subquantique décrit plus haut. Mais chacun pourra
juger la naïveté qui consiste à repousser la cause de la masse du
proton à l'existence d'un « champ » dont
l'existence n'est pas justifiée. Ce « champ » agit
selon la dualité : a) localité restreinte → extraction de
masses éphémères car le statut est fermion ; b) localité
étendue initiale → la réduction de localité par séparation
transforme les dipôles en monopôles. Cela explique la masse des
paires électron-positrons (statut boson entre voisins) qui permet
donc de composer toute la matière.
Conclusion :
le modèle standard démultiplie les forces, alors qu'il n'en existe
qu'une mais sous plusieurs formes, la force électrique. Le
modèle OSCAR en justifie la cause. Ensuite le modèle standard, à
défaut de progresser sur les causes, considère que chaque « champ »
possède un « boson vecteur ». C'est totalement faux :
a) il n'y a qu'un seul « champ » (tissu de dipôles) ;
b) les bosons H ou W obéissent à la loi M L = Cte par une réduction
de localité ponctuelle alors que le boson (photon) relève du
principe onde-particule ; c) la force forte n'a pas de boson et
n'est que l'effet du masquage des charges ; c) le classement de
l'électron – seule particule stable et élémentaire – parmi
les muons et tauons est injustifié ; d) la dichotomie
fermion/boson n'est que locale (et dérisoire) ; e) le nombre de
quarks induit dépend du nombre de groupes N de couches composites
(des intervalles N–1) , comme l'indique le tableau ci-après et
donc la dichotomie baryon/lepton ne tient qu'à cela.
(1)
si les paires électron-positrons sont de création
locale, alors elles sont instables ! Si en
revanche elles sont issues de la création à localité
étendue réduite, alors elles sont stables. Comme le
modèle standard fait l'amalgame entre les deux, il ne peut tirer les
avantages du puissant principe de dualité de localité. La crise de
la physique vient du profond trouble causé par les expériences sur
la localité.
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