PLANCK a planqué et FERMI a fermé

Derrière ce jeu de mots, se cachent les deux plus graves erreurs de la théorie quantique ! Au début du siècle dernier, les chercheurs découvraient petit à petit, le rôle crucial et universel de l'électron roi. A partir de sa masse M et de sa longueur (Compton) L, on en a intelligemment tiré la charge électrique élémentaire Q. Cette charge élémentaire s'est révélée universelle puisqu'elle était celle du proton alors qu'il est 1836 fois plus lourd (1). A ce moment, on pouvait se demander si le proton (donc toute la matière) n'était pas fait de couches de paires électron-positrons neutres avec un positron célibataire. Cela expliquait directement sa masse et sa charge ! A cette instant l'universalité de l'électron pouvait commencer à germer dans les esprits pour le considérer comme l'élément ultime de toutes les particules. Oui mais !



PLANCK a proposé sa fameuse constante universelle et magique h. Elle convenait à toutes les particules ! Mais bizarrement personne n'a vu que la constante de Planck était juste une confirmation du caractère élémentaire et universel de l'électron ! Pourtant il suffit de poser : ML c = h (2). Avec c, la vitesse constante de la lumière. La constante h n'est que le reflet de l'électron-roi. Mieux encore, en mesurant la période T de l'électron, on pouvait remplacer la constante c par L/T. En plus cette égalité montrait que l'universalité de l'électron concernant aussi l'espace-temps, puisqu'il règle la vitesse de la lumière ! Ainsi le côté magique de la constante de PLANCK disparaît complètement en posant : h = ML²/ T. Personne – à l'époque – n'a vu la supercherie ! Pire, encore aujourd'hui, on ne l'enseigne pas dans les universités ! On a perdu la trace (l'électron) de la cause du succès de la cohérence dimensionnelle obtenue à l'époque ! A cette époque DIRAC (3) n'avait pas encore proposé le positron (l'électron +) comme pendant symétrique de l'électron. Il était donc difficile d'imaginer un proton ayant des couches neutres majoritaires.



FERMI a enfoncé le clou en déclarant que l'électron – en qualité de fermion – ne saurait en aucun cas se condenser pour former un proton ! Exit l'universalité de l'électron. Oui mais à l'époque, on considérait (pas du tout modestement) que l'expérimentation dans une localité restreinte aurait un caractère absolu ! En vérité, il faut dire que le principe de dualité de localité n'était même pas envisagé ! Vous avez dit à l'époque ? Que nenni, même maintenant le principe de localité n'est pas compris par tous ! Donc FERMI a cru « démontrer » une dichotomie absolue entre les particules qui pouvaient se condenser et celles qui ne pouvaient pas. Alors que les règles de base de l'univers sont simples, on s'est évertué à découper les particules en familles différenciées. Peu importe la qualité des critères, classons classons ! Le modèle OSCAR montre clairement qu'en tenant compte du critère essentiel de dualité de localité, pour la création des paires, le caractère absolu de la dichotomie, disparaît ! Ainsi dans la réduction de localité originelle, les paires créées sont localement des quasi-bosons et peuvent donc se condenser.



Les quarks et les baryons : en organisant de violentes collisions, on s'est aperçu qu'il y a avait des points durs à l'intérieur des protons. Ils représentent moins de 1 % de la masse et on les a appelés les quarks ! De suite on a créé un autre type de famille (toujours la dichotomie) : on a distingué les particules composites ayant des quarks (baryons) de celles qui n'en ont pas (leptons). On a fait un amalgame douteux entre les particules stables qui font la matière avec toute une famille de particules instables et secondaires (qui ne font pas la matière). La règle des amalgames et des dichotomies s'est faite selon des critères douteux. Le modèle OSCAR montre clairement pourquoi les deux leptons composites n'ont pas de quark ! En fait cette dichotomie est totalement artificielle. Pourquoi ? Parce que l'on souhaitait tellement trouver une cause à la masse des protons que l'on a mis en avant ce rôle insignifiant des quarks (1 % de la masse).



L'électron-roi : chacun peut vérifier que l'électron (et le positron) est la seule et unique particule, qui soit à la fois : élémentaire et stable. Malgré cette évidence, on l'a classé dans une famille (les leptons) où ses « frères » sont ni stables ni élémentaires. Ce classement est basé sur l'absence de quarks alors que ce critère est dérisoire par rapport à la stabilité et l'élémentarité. Voir la loi KOIDE MAREAU et la suite à publier.



PLANCK a vraiment planqué le rôle universel de l'électron et FERMI a vraiment fermé la porte à son rôle élémentaire dans le proton composite. A leur décharge, ils n'avaient pas entendu parler de la dualité de localité à leur époque. Mais que dire de ceux qui aujourd'hui suivent ces vieilles lois aveuglément alors qu'ils connaissent parfaitement la discussion sur le rôle crucial de la localité ?





(1) au signe près

(2) en fait c'est ħ

(3) pourtant il n'était pas difficile de comprendre que pour raison de symétrie, le positron (+) devait exister pour équilibrer l'électron (–). Bien sûr le fait que le positron reste confiné dans la partie neutre des particules composites, ne facilite pas la tâche pour décoder. Il est facile à comprendre qu'une polarisation initiale (et aléatoire), dans l'axe {matière-espace} est la cause de ce confinement.



Ci dessous : Mr PLANCK n'a pas voulu voir que sa constante était le reflet du seul électron et monsieur FERMI a fermé la porte qui ouvrait la voie aux particules composées de paires électron-positrons dont la création ultra majoritaire n'est pas locale.

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