La mystérieuse masse de Planck
Par
la simple analyse dimensionnelle, Max Planck a proposé, au début du
siècle dernier, une masse déduite des trois grandes constantes
connues (G, ħ,
c). Cette masse qui n'a jamais été
mesurée, fait l'objet de spéculations concernant
son rôle dans la genèse de l'univers. Son mystère reste entier
pour le modèle standard. Les trois constantes sont les suivantes :
1) la vitesse de la lumière, c = 2,998×108
m/s ; 2) la constante de Planck, ħ
= 1,054×10–34
kg.m²/s ;
3)
la constante gravitationnelle ; G
= 6,672×10–11
m3
/s²/kg. La dimension
physique de la première est simple : il s'agit d'une longueur L
divisée par un temps T. Donc, c
= [L/T]. La seconde
correspond à une masse M multipliée par une
vitesse [L/T] et encore multipliée par une longueur L, soit ħ
=
[M L²/T]. On note
que c'est une masse ayant une certaine vitesse [ML/T] ou impulsion
cinétique qui multipliée par une longueur L, devient un moment
cinétique. La troisième correspond à un volume L3,
accéléré [L3 /T²], le tout divisé par une unité de
masse M. On a donc G = [L3 /T² M]. Ainsi par une
combinaison adéquate, Max Planck en a déduit une masse qui apparaît
comme universelle.
1. Création
de la masse de Planck : ainsi la combinaison entre : c
= [L/T], ħ =
[M L² T–1] et G = [L3 T–2
/M] permet de sortir un M, selon :
mP
= √(ħ
c / G)
En
effet le L de c et le L² de ħ,
annulent le L3 de G. Puis le 1/T² de ħ
c
annule le 1/T² de G. Enfin M/(1/M) = M² et donc sa racine = M. Il
se trouve que la masse de Planck est précisément ξ²
fois plus grande
(1)
que la masse de
l'électron, me.
mP
= me ξ²
Alors
se pose la question : Max Planck n'aurait-il pas oublié le
coefficient ξ²
dans sa relation ? Encore aurait-il fallut qu'il puisse
justifier un tel coefficient.
2. La
genèse de la masse
de Planck selon le
modèle OSCAR :
le BIG BANG standard est ici
explicité par un BEC
(Condensat de Bose Einstein) dont « l'explosion » est
sous forme d'une
mitose.
Le modèle montre que le BEC primordial se divise
en ξ²
BEC-fils
étant chacun l'hôte d'une étoile en devenir. Juste
avant la mitose, la matière est distribuée sur la surface 2D
(hologramme). A cet instant précis, la masse potentielle
d'un proton, aurait pu
être ξ²
fois plus grande qu'elle ne l'est réellement. Le
nombre de paires
électron-positrons aurait
été ξ²
fois plus grand. Mais
la mitose à creusé des intervalles. Cela a limité le proton à la
masse qu'on lui connaît. La
masse de Planck est donc
la masse qu'aurait
eu le proton sans la mitose.
Elle est potentielle et n'a donc pas d'existence. De plus, la masse
de ce fantomatique « proton de Planck », aurait été
1836 fois plus grande encore.
3. Max
Planck n'a fait que retrouver la masse de l'électron :
déjà il faut nous rappeler que ces trois grandes constantes (G,
ħ,
c) ne sont que les reflets
des 3 paramètres
de l'électron [me
ƛe²/te].
Ces paramètres sont également ceux de l'intervalle élémentaire et
des dipôles de l'espace-temps. Ainsi la vitesse c
se déduit de :
ƛe²/te
propre à l'électron. Il en est de même pour la constante de
Planck : ħ =
me
ƛe²/te
qui cache
sa véritable source i.e,
l'électron. Ainsi
Max Planck n'a fait que retrouver la masse de l'électron en tenant
compte du taux de mitose,
ξ².
me
= √(ħ
c
/ G) / ξ²
= √(ħ
c
/ G / ξ4)
Et
en se débarrassant de l'intrus ħ
=
me
ƛe²
/ te et
de
c =
ƛe
/ te
, on pose :
me
= √(me
ƛe3/
te²/
G / ξ4)
où
l'on voit que ƛe3
/ te²
compensent les
mêmes dimensions contenues dans G.
4.
La longueur et le temps de Planck :
Avec une masse ξ²
fois plus grande que
l'électron, sa longueur de Compton est donc ξ²
fois plus petite. Le temps de traversée de cette longueur est
également ξ²
fois plus petit que celui de l'électron. Mais encore une fois, ces
paramètres de Planck ne sont que potentiels, ils n'existent pas !
Il n'est donc pas étonnant que l'on ne les observe pas. Entre sa
constante ħ
et ses unités (masse, longueur, temps), Max Planck a participé
grandement à détourner la communauté scientifique du rôle central
de l'électron. Pourtant il est facile de constater que c'est la seule
particule libre à être à la fois élémentaire (non composite) et
stable. Les quarks, non
stables hors de leur confinement, ne sont que des particules induites
et non constitutives.
(1)
voir la constante de structure fine gravitationnelle (ou couplage)
proposée par de C.
Sivaram. Il donne pour l'électron : 1/ ξ4.
Que d'efforts déployés pour éluder l'électron !
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