Les 12 erreurs du modèle standard
Ce
travail est réalisé grâce à la cohérence du modèle
OSCAR qui résout totalement les 53 énigmes de l'univers à
toutes les échelles. Ces 12 erreurs viennent principalement de ce
trouble ancestral que procure la notion de dualité
qui vient contredire l'espérance
d'absolu, héritée de notre cerveau
reptilien. Pourtant la dualité
est confirmée en toute chose et notamment en matière de localité.
Le puissant principe de dualité de
localité s'articule avec un ET
et non avec un OU
pauvrement binaire et tout juste bon à organiser une mémoire dans
un vulgaire computer. Le « ET », purement analogique,
n'est pas optimal pour la transmission d'ondes codées. Mais ces
considérations ménagères masquent totalement l'infinité de
potentiels physiques offerte par l'analogique. Il suffit de voir la
fonction
de Dirac pour s'en convaincre. Le OU binaire sert à faire des
choix de nature déterministe, dans tous types d'organisation. Ce
type de déterminisme est totalement étranger à la nature physique
de l'univers. Le seul déterminisme dans la genèse
du monde, consiste justement à éviter l'impossible zéro
absolu. Voici ces 12 erreurs épistémologiques du modèle
standard :
1. L'amalgame
entre le zéro absolu et le zéro physique (relatif) :
aucun paramètre physique ne peut atteindre le zéro
absolu et l'infini. En revanche, il existe le zéro relatif qui
est la somme algébrique de deux paramètres physiques opposés. Le
zéro absolu n'est valide que pour les nombres. Si la notion d'absolu
est omniprésente dans les religions, elle est incompatible avec la
physique.
2. En
vertu de la contrainte [1] il est faux d'envisager (comme BELL)
le principe de non localité de
l'univers qui impliquerait une vitesse causale infinie. Seule sa
dualité de localité {étendue /
restreinte} est permise en physique. Ce principe implique une dualité
{quantique / subquantique} et donc une dualité de vitesses où la
constante c est entièrement induite par la grande
célérité du niveau subquantique.
3. Amalgamer
les 2 types de localité pour la
création de particules : a) dans la localité
restreinte (le laboratoire) ; b) dans la localité
étendue de l'univers. De cette erreur est née le caractère absolu
de la dichotomie entre boson et fermion
alors qu'elle n'est que relative à la
localité.
4. L'erreur
[3] entraîne de facto l'amalgame entre
particules stables et instables.
Il suffit de constater que les particules stables ne
se créent jamais en localité restreinte ! Le modèle
standard fait l'erreur de classer
dans la même famille, des particules stables et instables.
5. L'erreur
[3] condamne à tort la possibilité
d'envisager que les seules et uniques particules élémentaires
{électron-positrons} puissent être les composants
ultimes des particules composites.
6. Éluder
le rôle unique de l'électron : le modèle standard ferme
les yeux sur cette évidence : l'électron (et le positron) est
la seule particule stable et élémentaire.
7. Éluder
la source de la constante de Planck h : Cette
constante usurpe le caractère universel et élémentaire de
l'électron. Elle est construite avec les seuls
paramètres de l'électron, soit : [M, L, T]. Son
universalité est usurpée car chacun peut constater que : ħ
= M L² / T est construite uniquement avec les paramètres
de l'électron. Cela confirme le modèle OSCAR du proton, gouverné
par ses constituants
élémentaires {électron-positrons}.
8. Éluder
la question sur les quarks : sont-ils
induits où constitutifs ? Le choix « constitutif »
est totalement arbitraire et implique des paradoxes : a) la
multiplicité injustifiée des particules élémentaires originelles
; b) l'instabilité des quarks hors de leur confinement ; c) ils
ne représentent que 1 % de la masse du proton ; c) le
proton est vu comme un être mathématique alors qu'il est évidemment
de nature physique.
9. Éluder
la source de la charge élémentaire e : Cette
dernière a été initialement définie comme étant f(ML) du
seul électron. Mais beaucoup l'ont oublié. Donc le même module de
charge mais de signe (+) dans le proton, vient encore renforcer
l'erreur [5].
10. Éluder
la symétrie du ratio de force {coulombienne /
gravitationnelle}. Ce ratio est 1836 fois plus faible que celui qui
compare une paire électron-positron. Cette paire est entièrement
symétrique ce qui n'est pas le cas pour la paire électron-proton.
De ce fait, le modèle standard se prive de prendre conscience de ce
très important ratio
universel.
11.
Éluder la structure physique de la notion de
« champ » :
si la théorie de MAXWELLS
décrit
correctement les effets de l'électromagnétisme, elle n'explique
pas la structure physique de la notion de « champs ». La
notion de champ est parfaitement « structuré » par des
équations mathématiques qui ont fait leurs preuves. Mais cela a
servi à éluder
la réalité physique sous-jacente. Le choix de cette voie est
purement idéologique car le niveau subquantique est tout à fait
mesurable par les mêmes voies indirectes que celles à qui on fait
confiance dans la théorie standard. On
note ici le non respect de la dualité : décrire
ET expliquer. LE
« OU »
est totalement inepte.
12.
Éluder la dualité {holiste / réductionniste} :
le début du siècle
dernier a fait l'objet d'une révolution en matière de méthode de
recherche en physique. La période précédente utilisait plutôt la
voie holiste (vue globale → détail). Par manque de moyen, cette
approche, assez floue, n'était pas rigoureuse. Alors a été décidé
de privilégier la voie réductionniste (détail → global). On a
déclaré qu'au nom de la rigueur on allait se borner à la
dualité itérative : expérimenter / théoriser. Tous les
effets expérimentaux sont pris en compte dans la construction de la
théorie. Cela apparaissait comme parfait.... Mais on a négligé
deux paramètres essentiels :
a)
la dualité {holisme / réductionnisme} doit s'articuler par un ET
et non par un OU
b)
comme on l'a vu en [3] la dualité de localité a été totalement
éludée. A la décharge des « anciens », à cette
époque, aucune expérience n'avait encore jeté
le trouble sur la localité. Emporté par cette envie bien
humaine de désir d'absolu, ils ont décrété que leur labo était
comme le « centre de l'univers ».
Conclusion :
pourtant BOHM
et BELL ont essayé d'aller contre ce mouvement « je
peux tout savoir depuis mon labo ». Mais aujourd'hui, bien
que nous disposions de toutes les preuves concernant la dualité de
localité, les plus radicaux des tenants du modèle standard, n'ont
pas envie de revoir leur copie. Ils continuent de croire (sic) que
l'ont puisse recréer les conditions d'un BIG BANG dans la dérisoire
localité retreinte de leur labo. Ils dépensent des milliards pour
créer des centaines de particules qui ne sont que des résonances
éphémères et dérisoires, du tissu subquantique. Et si on
remplaçait ces dollars gaspillés par plus de réflexion sur la
physique du réel ? Revoir les choix des chemins
épistémologiques.... Oui mais comment se priveraient-ils de ce
sentiment de puissance que procure ces immenses machines, tout en
avouant modestement leurs échecs ? Cet orgueil démesuré va
avec ce besoin d'absolu et la vénération des « maîtres »
de Copenhague qui va jusqu'à conserver leur langage éculé. C'est
trop demander ! Nous sommes maintenant une assez forte minorité
pour modifier tout cela. Il suffit d'en avoir le courage.....
Encore
faut-il le reconnaître !
Mon ami Olivier dira que je suis un chercheur militant. Je le revendique effectivement car je suis aussi un citoyen qui essaie d'être éclairé et responsable. J'ai un (petit) rôle à jouer et je le joue le plus honnêtement possible !
RépondreSupprimerJe rajoute que la progression du modèle standard s'est faite par une succession d'erreurs. Elle a suivi les mêmes lois que celles décrites dans le billet portant sur la vertu de l'échec. https://sciencesetuniverspourtous.blogspot.fr/2017/12/la-cle-de-lexistence-par-la-vertu-de.html
RépondreSupprimerMr Mareau, pour donner suites aux récents commentaires, au billet précédent et à ce dernier billet, notamment avec l'item 2, j'avance l'idée suivante:
RépondreSupprimerUn dipôle pourrait être constitué de 2 pôles, certes, mais également de deux "ondes" fonctionnant ensemble dans chaque pole, l'une étant plus porteuse de "M" et l'autre plus de "L" (1. ce pourrait même être deux ondes identiques "porteuses" de M et L, avec un éventuel déphasage opposé - 2. explique la dualité de localité après la séparation). A la saturation/séparation, seule une des deux serait "rompue".
- celle rompue, se verrait concentrer localement tout le M de l'onde rompue dans un petit espace L (d'ou la forte augmentation de M, vibrant dans un espace élémentaire de taille petit L)
- celle, non rompue, qui continue à garder le contact entre les deux localités séparées de 150 000 AL. Cette séparation l'ayant perturbé (elle vient de perdre son onde jumelle !), elle garde une part de rapprochement de ces deux localités que pourrait être la gravitation (reste d'inertie). Cela donne du sens, à ce que , à termes, toutes les paires séparées se retrouvent.
Cela pourrait également "régler" le sujet électrique: au moment de la saturation/séparation, les ondes séparées adjacentes (toujours liées à leurs ondes jumelles respectives non rompues) s'associent par paquet qui se stabilisent en neutron/proton vis le processus mitose en 5 étapes.
Ces ondes adjacentes pourraient être en opposition de phase, pour une question d'équilibre du BEC qui s'est construit jusqu' à la saturation, expliquant cette alternance de + et - .
Ces associations par paquets ne peuvent conduire à l'annihilation car elles sont individuellement reliées à leur onde jumelle non rompue et ne sont donc pas disponibles pour "disparaitre", leur seul but étant de retrouver la liaison (via la gravitation).
Les électrons, positrons de création locale ne sont pas de cette nature, car ils sont un emprunt au tissu subquantique. Ils y retournent donc dés qu'ils peuvent.
Le spin n'apparaitrait qu'au moment de la séparation, c'est à dire à partir du moment où il existe une perturbation de séparation du dipôle et des phases (qui s'apparentent aux charges électriques).
La dualité serait vraiment partout: 2 pôles, 2 ondes déphasées dans chaque pole, 2 localités quantiques reliées via le lien subquantique subsistant, quantique et subquantique reliés en permanence.
Bon dimanche.
Mon prochain billet en préparation, répond assez bien à votre commentaire cher LC. Il traite de la substance des "champs". En fait, en prenant en compte le niveau sub il n'y a plus deux physiques 'classique et quantique) mais une seule physique mécanique beaucoup moins naïve que l'éther visqueux et spéculatif.
RépondreSupprimerBonne fin de soirée