Un cristal révèle la période exacte des oscillateurs dipolaires subquantiques
Un
de mes lecteurs, Jihems, m'indique qu'il existe une expérience
portant sur les cristaux
temporels, qui lui rappelle l'oscillateur dipolaire du modèle
OSCAR. Je l'en remercie. Il s'agit de cristaux d'yttrium qui
présentent une oscillation stable, sans apport
d'énergie. Le document indique que cette période : ty =
7,5 × 10–7 secondes, est liée au phénomène
d'intrication qui est qualifié d'étrange dans la publication.
L'intrication consiste à disposer (par exemple), deux électrons
dans le même état de spin. Ensuite en éloignant suffisamment les
deux particules, on vérifie qu'elles restent causalement liées par
un vecteur circulant nettement au dessus de la
vitesse de la lumière. Si cette expérience sème
le trouble parmi les tenants du modèle standard, elle confirme,
une fois de plus, le modèle OSCAR. En effet, la dualité
onde-corpuscule trahit la dualité {quantique subquantique} et donc
la dualité des vitesses et pas une non
localité de l'univers qui impliquerait une impossible vitesse
infinie ! L'espace-temps est matérialisé par un tissu
d'oscillateurs dipolaires, formant BECs. Les paramètres de
l'électron MLT, sont les paramètres universelles de l'espace-temps
duquel il est issu.
1. Le
ratio quantique / subquantique ξ3
: ce ratio est largement justifié est précis
dans le modèle OSCAR. Il apparaît en décodant correctement de
nombreuses relations connues. Il concerne en premier lieu le ratio :
masse électron / masse dipôle. Sa valeur numérique est :
ξ3
= 3,6938 × 1033
Un
électron oscillant dans de l'Yttrium, correctement dosé, est donc
ξ3
fois plus massique que le dipôle subquantique. Par ailleurs,
la période du dipôle est celle de l'électron soit : te
= 1,288 × 10–21
secondes. On sait que la période d'un oscillateur dépend de
la racine carrée de la variation de sa
masse. Donc si la masse augmente du ratio ξ3,
sa période doit augmenter du ratio : ξ3/2
.
ty
= te ξ3/2
/ k = 7,5 × 10–7
s
le
résultat numérique est direct mais présente une erreur avec la
mesure, de : k = 1,043.
2. Le
coefficient d'équivalence T =
kt √ML :
a été discuté dans le billet
précédent. Il est justifiée à : kt = 2,17179. Mais on
peut le décomposer comme suit : kt = 2 kt1 avec
kt1 = 1,08589. Ainsi si kt = f(√ML) alors
la forme : kto = f(√M) est
donc sa racine carrée dans le cadre de l'équivalence M et L
discutée dans le billet précédent. Ainsi kto =√kt
= √(1,08589)
= 1,042 est proche du taux d'erreur k, en rapport avec la
mesure. Mais kto = f(√M)
doit tenir compte du taux d'habillage de l'électron qui agrandit la
masse M, soit : σ = 1,0031259.
Ainsi : k = kto σ
= 1,043.
Cela
explique le taux d''erreur de la relation précédente :
ty = te ξ3/2
/ k = 7,5 ×
10–7 s
3. Conclusion
: ce coefficient
ξ3
était déjà largement démontré comme étant universel. Cette
expérience ne fait que le confirmer. L'oscillation dans ce cristal,
apparaît donc comme une résonance sub
harmonique de la fréquence des oscillateurs
dipolaires subquantiques. Cette expérience vient compléter les
nombreux indices et les 51 prédictions
qui justifient le modèle OSCAR. La réalité de la structure
physique subquantique a longtemps été éludée à cause de son
ancien statut « d'invisibilité ». Cependant plusieurs
expériences modernes montrent que cet ancien statut est devenu
obsolète. Une section droite (2D) de l'intervalle élémentaire, est
un mini « trou noir » dont la sortie 1D est matérialisée
au centre, par un oscillateur dipolaire subquantique. On peut la
considérer comme un « trou de ver » car cette sortie est
l'unique chemin, pour une onde, de passer vers un autre intervalle,
quelle que soit sa position dans le BEC. L'espace a ainsi le statut
d'espace-temps car la transition se fait avec le temps élémentaire
te . C'est
l'expression directe du puissant principe de dualité de localité.
Ce principe remplace la « non localité » qui
impliquerait l'ineptie (1) d'une vitesse
causale infinie.
-
les plus radicaux, parmi les tenants du modèle standard, avides de valeurs absolues, préfèrent encore l'option de l'infini. Ils répètent à l'envi les vieilles lunes datant du début du siècle dernier. Cela leur paraît plus crédible que la dualité de vitesses finies. Je rappelle la phrase d'Einstein : « Deux choses sont infinies : l'univers et la bêtise humaine. Mais en ce qui concerne l'univers, je n'en ai pas encore acquis la certitude absolue ». S'il avait eu connaissance des observations modernes, nul doute qu'il aurait abandonné définitivement l'ineptie de l'infini concernant les paramètres physiques.
J'ai corrigé le facteur 2, mis par erreur... Jihems ?
RépondreSupprimerBonjour.
RépondreSupprimerPourriez-vous préciser SVP de quel facteur il s'agit ?
Bonjour Jihems, il s'agit d'une "erreur bête" liée au coefficient justifié dans le billet précédent : kt = 2.17179 qui se décompose en : kt = 2 × ktl = 1.08589. J'avais juste posé : ty = te ξ^(3/2) / 2k = 7,5 × 10–7 s avec un "2" en trop. Ce n'est que pure distraction..... Sinon on retrouve ici un énième emploi de xi^3 qui ne laisse plus aucun doute sur le ratio masse électron / masse dipôle.
RépondreSupprimer:-) Merci.
SupprimerLes formules n'étant pas mon fort, je n'avais pas vu ! ...