Le puits de jauge du proton
Le
modèle standard ne donne aucune explication physique au « champ »
de l'espace-temps. La théorie quantique des « champs »
(Q F T) est juste une démarche descriptive. Mais décrire
n'est pas expliquer.
Cette théorie considère 4 forces fondamentales : a)
l'interaction électromagnétisme avec comme médiateurs, des
photons ; b) la force « faible » avec comme
médiateurs, les bosons ; la force « forte » avec
comme médiateurs les gluons ; c) la force gravitationnelle avec
comme médiateurs, les gravitons. Ces derniers n'ont pas été
découverts. La démarche descriptive et analytique a amené une
crise dans les années 1940 avec le problème des infinis. Ce
problème d'infini a été « résolu » par une procédé
purement mathématique, la renormalisation ! L'erreur est
d'admettre des infinis (en physique) puis les éliminer
artificiellement. A ce jour, beaucoup continuent de faire l'amalgame
entre le zéro mathématique et le zéro physique. La théorie
quantique des « champs » ne relève pas d'une démarche
physique avec la recherche des causes mais se limite à classer les
effets. Il en résulte un classement absurde des particules en
passant à côté de la dualité de
localité sans laquelle on ne peut rien comprendre. Le
modèle oscar
montre qu'il n'existe qu'un seul type d'interaction,
l'électromagnétisme qui s'exprime sous des formes différentes.
Mais pour comprendre cela il faut déjà démystifier ce qu'est le
« champ » et non conserver ce terme comme un mot magique.
Le « champ » n'est que l'effet d'une cause prenant la
forme d'une structure physique tissée d'oscillateurs dipolaires. Le
réseau d'oscillateurs dipolaires est organisé dans un Condensat de
Bose Einstein (BEC). Les BEC-étoiles sont le résultat de la mitose
du BEC originel dont le modèle explique totalement son origine.
1.
La désintégration d'un muon : le muon se désintègre
en quelques micro-secondes en neutrinos + boson W + électron. Que
dit le modèle standard ?
Extrait :
« Les muons négatifs sont instables et se désintègrent au bout
de quelques microsecondes en un électron accompagné par 2
neutrinos. Dans un premier temps, le muon se transforme en
neutrino-mu accompagné par un boson W. Cette transformation est
autorisée transitoirement par le principe quantique
d'incertitude..... ».
Le
principe d'incertitude a bon dos ! Où est passée la masse du
muon (~ 207 électrons) ? On ne pose pas la question ! Le
modèle oscar ne se borne pas à décrire mais donne toutes les
explications : a) le muon est une résonance fondamentale liée
aux ξ8
oscillateurs dipolaires formant la matière sur l'hologramme du BEC
fossile ; b) il naît
de toute perturbation étant au moins à la hauteur de sa masse :
c) ces 206 couches neutres se scindent en 2 parties oscillantes de
103 unités et cet oscillateur dipolaire annule sa masse ; d)
l'électron célibataire est émis ; e) la scission des couches
provoque l'extraction fugace du boson W ; c) les neutrinos
représentent le retour de l'habillage au niveau subquantique.
Voir la publication sur la
loi
de Koide-Mareau.
2.
Le puits de jauge du proton : il faut rappeler que le
proton dispose, en partie neutre, 1840 couches sphériques
d'électron-positrons de création non
locale, ce qui leur vaut le statut de quasi-boson.
En son sein, est confiné un positron célibataire dont on mesure
précisément la charge. La masse de chacun des 4 groupes de couches,
lui confère la taille de son rayon,
selon la règle de Compton. Cette dernière n'est autre que
l'application du fameux : ML = Cte.
Les 4 groupes impliquent 3 intervalles polarisés qui induisent 3
quarks (2 u + d). Ces derniers ne participent en aucun cas à la
masse du proton. Aucun gluon n'est nécessaire pour expliquer la
force « forte ». Le neutron est identique sauf qu'il
possède une paire électron-positron, confinée. Cette dernière
induit la somme des quarks (2 d + u) à cause de la différence
d'interaction entre les intervalles et la paire confinée. Quand le
neutron se désintègre*, il éjecte l'électron confiné et cela
produit un réarrangement fugace des couches neutres et des
intervalles ce qui extrait les bosons Z et W. Le neutrino porte le
différentiel d'habillage entre le neutron (lourd) et le proton (plus
léger).
Mais
d'où vient le boson W ? Le modèle standard vous dirait :
du « champ » . C'est un peu léger et pas
plus clair que l'éther ! Le changement du confinement dans le
neutron, revient à une perturbation du réseau d'oscillateurs
dipolaires. Le proton qui émerge au niveau quantique, possède une
face qui émerge au niveau subquantique ! Ce puits de jauge
élémentaire retrace les 5 phases de mitose + la phase
d'annihilation 1D**. Le puits de jauge élémentaire est un empilage
de 5 volumes 3D + 1 élément 1D attaché aux oscillateurs
dipolaires. La figure montre que le proton a réussi à unir les deux
causes de la mitose. Il réconcilie la masse brute : p
= 1835,26 électrons et la masse mesurée : po
= 1836,15. Cependant comme l'énergie varie en 1/r,
le ratio d'extraction n'est pas ξ3
mais ξ. De plus, le boson W est « aspiré » par
le réarrangement des couches (en 2D) alors que la source
subquantique est en 1D. Il vient que l'extraction du boson W (et Z
et Higgs) se fait la transition vers le canal 1D, soit avec le ratio
{1D / 2D} → √ξ.
3.
Les forces faibles et fortes
: comme les tenants du modèle standard, ont du mal avec la
dualité de localité,
ils ne peuvent admettre un proton composé de paires
électron-positrons. Alors ils ont inventé un « objet
mathématique » fait d'hypothétiques « gluons »
faisant jouer un rôle prépondérant aux quarks qui ne sont que
l'image miroir induite par les intervalles polarisés. Le modèle
standard considère que chaque force possède un boson-vecteur pour
se propager. Encore une fois, on confond l'effet (boson) avec la
cause (structure physique faite d'oscillateurs dipolaires). Par
exemple, la propagation de l'onde électromagnétique est gérée par
le tempo des oscillateurs dipolaires. Les photons ne sont que la
représentation de la localisation des
ondes. Pour la « force faible », il ne s'agit que de la
réaction des dipôles avec la règle : ML = Cte (voir figure
ci-après). Pour la force forte, il a fallu spéculer sur des bosons
« gluons » pour « coller » les protons entre
eux ou maintenir leur intégrité..... La réalité physique est bien
plus simple : les couches sont neutralisées par superposition
de leurs charges électriques. Toute tentative pour les séparer,
démasque brutalement les charges ce qui génère une force
proportionnelle à l'inverse de la distance. Comme l'amorce de la
séparation commence pour un intervalle proche de zéro, la force
électrostatique (en 1/r²)
est naturellement immense.
4.
La force gravitationnelle : pour
être cohérent avec sa démarche, le modèle standard, spécule
sur une propagation de la force gravitationnelle, qui
serait
réalisée par des bosons spéciaux, les « gravitons ».
Encore une fois, le modèle oscar montre que cette force, de nature
électromagnétique, se propage grâce au réseau d'oscillateurs
dipolaires subquantiques. La théorie de la relativité générale
montre avec justesse que la gravitation courbe l'espace-temps. En
fait elle agit comme la « force faible ». En effet, la
masse d'un boson W est extraite à cause d'une perturbation fugace.
Cette perturbation agit sur la symétrie spatiale L
du
dipôle ! En
vertu de ML = Cte, le
dipôle
réagit en émettant une masse M.
L'extraction de la masse relativiste est également causée par
la déformation de la symétrie des dipôles subquantiques. La
clé fondamentale de la courbure de l'espace-temps, vient de ML =
Cte !
Tant
que le modèle standard n'aura pas intégré le principe fondamental
de dualité de localité,
il restera sur l'ancien schéma réductionniste,
perclus
d'énigmes et de contradictions
Transition
neutron → proton : L'action sur les couches 2D du neutron,
transmise via le canal 1D de l'oscillateur, se traduit par la racine
carrée du ratio ξ → √ξ
pour extraire un boson. Quand l'hologramme (2D) évolue en 3D,
l'accord entre α et ξ se
réalise grâce au ratio entre la masse brute du proton, po
et sa masse mesurée, p
(habillée). Le niveau subquantique est potentiellement ξ3
fois plus énergétique que le niveau quantique (effet
Casimir modéré). Mais s'agissant de l'émergence des rayons
cosmiques, les mesures montrent que le ratio se limite au ratio :
ξ. Enfin, s'agissant
l'extraction par les particules composites (via leurs couches 2D), se
limite au ratio : √ξ.
Il est très important de voir que le proton est "branché" sur le réseau subquantique de l'espace-temps. Cela veut dire que nous sommes tous reliés exactement comme le phénomène d'intrication qui prouve la dualité de localité.
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