Le temps propre de l'électron dépend de sa masse
Le
modèle standard dispose de trois unités principales : le
kilogramme, le mètre et la seconde. Malgré le caractère arbitraire
de ces trois unités, le modèle standard a réussi l'exploit de
construire le système d'unités international SI basé sur le
système M.K.S.A (mètre, kilogramme, seconde, ampère) assez
cohérent. L'intensité I en ampère, désigne un débit de charge
électrique selon : I = Q/T. Mais avant ce système cohérent il
existait une système C.G.S (centimètre, gramme, seconde). A partir
duquel on a déduit la charge électrique élémentaire
e, à partit du produit
{masse × longueur} de l'électron. On a donc écrit : e²
= k (me
× r0)
avec k = 1 mais ayant une dimension opportune : k
= [M L / Q²]. Ce k désignait
la perméabilité du vide. Mais avec les nouvelles unités, il a
fallu prévoir un coefficient qui s'adapte aux nouvelles unités. On
a donc posé entre kilogramme et gramme un facteur de 103
et
entre mètre et cm, un facteur de 102.
Mais comme l'énergie
(plaque tournante de la physique) s'écrit : [M L² / T²] alors
la conversion métrique a été élevée au carré. On a donc un
facteur de modernité de : 10–7.
Pour des raisons physiques, le coefficient est devenu :
μo
= 4 π 10–7.
Un autre changement est apparu : étrangement le rayon de
l'électron mesuré est 137,035999 fois celui attendu ! Ce
coefficient s'appelle alpha (α) c'est
la constante de structure
fine. Ainsi le rayon vaut :
ƛe
= α ro
et
la relation plus haut devient : e²
= μo
/
α
(me
ƛe)
pour désigner la charge élémentaire universelle. Donc :
e²
= f(ML).
1. Réduction
des arbitraires
d'unités :
pourquoi a-t-on décidé
: Q² = [M L] ? Tout simplement parce cela sert la
cohérence globale. Mais pourquoi cela sert la cohérence globale ?
Cette question n'a pas été posée et c'est bien dommage. Car au
delà de la « cuisine » dimensionnelle, il y a plusieurs
messages forts venant des lois de l'univers : 1) l'électron est
la seule particule élémentaire stable ; 2) si la charge
électrique élémentaire est proportionnelle au produit ML, cela
ouvre la voie au principe d'oscillateur dipolaire où l'intégrité
des deux pôles est assurée par la force électrique f(e²) ;
3) le rayon initial de l'électron ro,
s'est agrandi du facteur α =
137,035999 : 4) Toute
civilisation avancée, constate
que l'électron est la
seule
particule
élémentaire libre.
Ainsi
le produit ML peut-être
réduit en une seule unité : Ω
=
ML. Ce
faisant, il ne reste plus
que deux arbitraires : Ω et T.
2. La
mesure de la masse élémentaire : ainsi les paramètres Ω
et T de l'électron sont élémentaires. Cela se confirme
également par le fait que la constante ħ
(de Planck) n'est que le reflet de l'électron car on vérifie
: ħ
= me
ƛe²
/ te !
C'est juste le moment d'inertie de l'électron ! Ce point
crucial est oublié par la plupart des physiciens. Par exemple
l'incertitude de Heisenberg dit qu'en dessous de l'impulsion interne
de l'électron et de la localisation dans le rayon de Compton, il ne
peut exister aucune particule identifiable. Ainsi, sans le savoir,
cette loi confirme le caractère élémentaire de l'électron. Pour
mesurer la masse de l'électron (dans l'unité kg), on mesure sa
déviation que fait subir un champ magnétique ou un champ
électrique. Or l'intensité numérique de ces champs est fonction de
l'unité de temps. Or la figure
suivante, montre que la mesure de la masse de l'électron dans
l'unité M est affectée par l'unité T.
3. Le
lien masse / temps propre dans l'oscillateur électron :
tout oscillateur possède un temps propre qui dépend de sa masse,
selon : T = √ML.
L'oscillateur électron n'échappe pas à cette règle qui lui vient
de son ex état comme demi dipôle oscillant. La figure suivante
montre comment son temps propre (inverse de sa fréquence) est
fonction de sa masse. Cela parait surprenant mais il faut tenir
compte du fait que la valeur numérique de sa masse dépend des deux
unités arbitraires M et T.
Exemple :
soit un système où l'unité T' = 2 T. La valeur numérique propre à
sa masse dans son unité M, sera 2² = 4 fois plus grande car m =
f(T²). Dans ce système : T²' = (ML) la valeur numérique
de T' apparaîtra également en fonction de ML. Si l'arbitraire des
unités rend effectivement indépendant M et T, il en va autrement
dans l'électron où les valeurs numériques sont interdépendantes.
La
figure suivante montre une subtilité : Le fait de poser :
T² = η M L implique une
égalité numérique dans sa racine tel
que : M = L = T/η . Mais
η n'est pas un paramètre
libre puisque il est juste la simplification de la formule
précédente. Cette égalité
numérique est
une conséquence directe de la symétrie
fondamentale entre
M et L requise dans le principe de l'impulsion de DIRAC. C'est cela
qui justifie l'existence éternelle des oscillateurs dipolaires de
l'état stochastique du monde.
Dans
la figure suivante, le coefficient k = 1,000085936, est une
légère correction liée à l'habillage virtuel selon :
k
= τμ
/ τp
π ; τμ
= (mμ
/ mμo)
– 1 ; τp
= (1841 / Po)
– 1
Voir
les détails avec la loi
Koide-Mareau
restreinte, la loi de Koide-Mareau
générale et le chapitre
52 du modèle OSCAR.
Il faut retenir que Ω = ML est physiquement opportun car il existe une profonde symétrie : M = L dans le dipôle élémentaire. On a donc : Ω = ML = Cte ; M = L ; T = k √ML. La racine revient à rendre numériquement égales, masse M et amplitude L. L'électron est le témoin objectif de son ex état demi dipolaire (électrique) ou monopôle (magnétique).
RépondreSupprimerPS : si vous souhaitez poursuivre ce débat, merci de le faire en commentaire du dernier billet en cours car je n'ai pas d'alerte sur les anciens billets.
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