Loi de Koide–Mareau
Le
modèle standard a posé arbitrairement une dichotomie entre les
particules dites lepton comme électron, muon et tauon, d'une part et
les hadrons d'autre part, composés de quarks. Comme la loi de Fermi
interdit d'une manière absolue, que des électrons-positrons
(fermion) puissent se condenser comme des bosons, alors on a
abandonner l'idée que les particules soient composées de ces
paires. En faisant cela, le modèle standard a éludé la
dualité de localité avec laquelle d'ailleurs il existe un fort
malaise. En fait la seule dichotomie valable est celle de la
stabilité :
Les
créations locales sont toujours instables
1.
Stabilité des particules : l'électron et le proton –
de création non locale – sont toujours stables. De plus,
l'électron est la seule particule libre qui soit à la fois stable
et élémentaire. La stabilité des quarks ne se vérifie que dans le
cadre de leur confinement dans les hadrons ! Cela implique
qu'ils sont induits et non constitutifs. On a accordé une importance
non justifiée à ces particules qui ne relève que d'une induction
interne. En gardant ce cap, le modèle standard soulève bien plus
d'énigmes que de résolutions. Tout cela à cause de ce trouble créé
par la dualité de localité. En effet, on a tout misé sur de gros
investissements qui sont sensés faire avancer la recherche par la
seule voie locale. Certains espèrent même pouvoir retrouver les
conditions du big bang localement alors que celui-ci relève d'une
réduction de localité qui implique une phase de localité étendue.
2.
La loi restreinte de KOIDE-MAREAU : la loi de Koide pose
une relation entre électron, muon, et tauon assez surprenante avec
une précision de 10–5.
En posant que les particules sont toutes composées de paires
entières et nues d'électron-positrons, l'incertitude de la
loi de Koide diminue d'un facteur énorme, soit 10–12
! Il suffit pour cela de mettre en avant le taux
d'habillage selon : 207/206,76. La conversion faite avec l'unité
électron nu, donne ce résultat indiscutable ! (voir figures 1
& 2).
3.
La loi générale de KOIDE-MAREAU : elle étend la loi
restreinte, aux protons et neutrons et montre que ces derniers sont
de même facture que les leptons. La dichotomie par les quarks n'est
pas justifiée car ils sont induits dans
le confinement des intervalles entre
groupes internes ! La seule évocation de création non
locale, permet d'autoriser que toutes les particules sont composées
d'électron-positrons. La loi de Fermi doit être révisée à l'aune
de la dualité de localité. (voir
figures 1 & 2).
4.
Réponse à la question standard : Les tenants du modèle
standard se demandent pourquoi le muon et le tauon existent avec
ces masses particulières ? Quel rapport ont-ils avec l'électron ?
Tout d'abord il faut élargir cette question au proton (stable)
! La réponse est claire : ces particules sont justifiées par
des résonances spécifiques et éphémères avec le tissu
subquantique. Par exemple une forte perturbation énergétique
conduit à des désintégrations où apparaît furtivement des muons.
Le modèle OSCAR montre que toutes les particules de création
locale, sont des résonances du tissu subquantique. Ainsi, le muon
est induit par le logarithme népérien du nombre originel ξ8
d'oscillateurs dipolaires, soit :
μξ
=
ln(ξ8)
= 206,1119232025.
Le tableau 3
ci-après, confirme que
l'électron est
le composant élémentaire
de toutes les particules.
Il met en avant la
comparaison des taux d'habillage
du muon et du proton. Ce
dernier possède également une valeur brute fonction
de ξ
de type :
pξ
=
1835,26306194058.
Ces taux sont intimement
liés à l'anomalie
du moment magnétique de l'électron.
Or cette mesure est une
contrainte
forte
puisqu'elle est la plus
précise de la physique des particules. Son
incertitude est mesurée après la 12ème décimale connue, soit
αe
=
1,00 115 965 218.
Cette même précision est
atteinte par le calcul OSCAR (voir
le tableau 3).
Figure
1 : les
4 groupes du proton sont contraint par la loi de Compton. Celle-ci
vient de la fameuse loi Oscar : ML = Cte. Cela veut dire que le
rayon mesuré du proton est bien vérifié comme étant celui de
l'électron, divisé par une masse de 1/4 du proton.
Figure 2
Tableau
3 : Le calcul standard part d'une approche numérologique
arbitrairement basée sur la coïncidence : 1/(2 α
π) = 0,001160... proche de l'anomalie du moment magnétique
de l'électron (1,001159652...). Il utilise ensuite plus de 900
diagrammes de Feynman pour apporter des corrections successives pour
atteindre une précision avec 11 décimales exactes. Feynman à dit
lui même : «
il
aura fallu cette supercherie pour arriver à un tel résultat ».
Malgré toutes ces corrections successives, la précision est 100
fois moindre que celle du calcul Oscar qui n'utilise qu'une seule
correction qui est contrainte par le fait que la circonférence du
BEC-fossile contient ξ/α²
BEC-fils.
Après annihilation cela forme donc un
angle de : α²/ξ
. Ce taux est tellement
faible qu'il n'agit que sur l'habillage
et donc le taux d'anomalie. Cette
correction comprend celle liée
à la condensation
en proton, soit :
ln(2
pξ).
Tableau
4 : on note que le proton
(stable) n'est pas une résonance mais la variable
d'ajustement originelle
entre l'aspect fractal de la
mitose en 5+1 phases α²,
donc α12
et son
taux
originel
lié aux intervalles, ξ².
Cette différence est
liée à sa
stabilité induite
par sa création
non locale.
Ce billet simplifie à dessin la définition des hadrons qui sont dotés de la force forte contrairement aux leptons. Le modèle standard l'associe aux quarks et aux gluons alors que ce ne sont que de simples effets et non des causes. La clé de la force forte vient de la superposition des couches neutres dans le noyau. Toute perturbation, amorce un léger démasquage des charges électriques ce qui provoque un brusque accès de force de nature coulombienne. C'est exactement la même chose dans les noyaux fusionnés car ils sont également organisés en groupes de couches neutres dont les intervalles polarisés induisent les quarks. Le modèle standard s'appuie sur ce modeste effet alors que la cause de la masse est juste la composition en paires électron-positrons créées non localement (donc stables).
RépondreSupprimerDans le tableau 1, on voit que le tauon se désintègre rapidement en produisant souvent des quarks. Il est clair que la dichotomie standard n'est pas cohérente. En revanche, cela confirme le modèle Oscar qui est basé sur la possibilité ou non, de divisions paires. On voit de suite que les 203 paires du muon n'a aucun diviseur entier ! En revanche si le tauon forme un seul groupe de 1740 paires, il est divisible par 2 =(870 et par 3 = 580, formant ainsi des intervalles entre groupes. Ce n'est donc pas étonnant qu'il produise furtivement, des quarks.
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