Articles

Affichage des articles du mai, 2018

L'éternité paradoxale de l'univers (suite 2)

Image
- Sceptique : j'ai compris : on ne peut avoir ni Mo = 0 (absolu) ni M > 0 (injustifiable même en mode de variation aléatoire). Mais cela nous mène où ? - Cela nous mène tout droit à l'obligation d' osciller  ! La notion d'oscillation inertielle est omniprésente. L'oscillation, est le seul moyen de (paradoxalement) chercher le zéro tout en l'évitant ! On ne peut pas parler d'un réseau de points élémentaires ! Il n'y a pas de connexions mais que des éléments aléatoires qui fluctuent. Dans le confinement de chacune des « vaguelettes » véritables particules élémentaires aléatoires, une origine Mo quelconque, aussi petite qu'elle puisse être, cherchera toujours à atteindre l'impossible zéro. Le zéro absolu est un puissant attracteur mais impossible à atteindre ! - Sceptique : pas d'accord car l'oscillateur aura forcément un M moyen > 0 et qui l'aurait mis ? - Bonne remarque ! Mais la nature a conto

L'éternité paradoxale de l'univers (1)

Image
Voici un dialogue avec monsieur Sceptique au sujet de la « création » de l'univers.... De nombreuses références vont émailler les réponses et notamment celles liées au modèle OSCAR . Habituellement la méthode employée consiste à utiliser les éléments physiques connus et les transposer dans le passer en remontant le temps. Ici nous procéderons par itération  ! Pour booster le raisonnement, nous inverserons la flèche du temps autant de fois que nécessaire pour bien vérifier la cohérence entre ce qui est possible physiquement dans le passé et ce qui est vérifiable dans le présent. C'est une oscillation permanente. Nous mettrons à jour les grands attracteurs de la nature en montrant qu'ils sont non seulement à la base de la genèse de l'univers mais toujours bien mesurables et observables. - Sceptique : il y avait quoi au début  de l'univers ? - Moi : il n'y a pas de début..... - Sceptique : donc c'est un cycle mais il a bien fallu

Énigme de la précocité des premières étoiles

Image
Selon le modèle standard, 380 000 ans après le Big-bang la température de l'univers observable a suffisamment chuté pour que se forme les premiers atomes d'hydrogène et d'hélium à partir d'un plasma chaud. Cette température dite de « recombinaison » était de l'ordre de 3000 K. Le modèle standard considère que durant les premières 100 millions d'années , l'univers était sombre. C'est ensuite que les premières étoiles se seraient formées. Elles auraient une masse comprise entre 100 et 1000 masses solaires . Le modèle prévoit que les premières étoiles sont nées il y a 180 millions d'années . Mais ce modèle n'explique pas comment la simple action gravitationnelle a pu former des étoiles aussi rapidement. Il n'explique pas non plus la cause du Big-bang qui est en fait la véritable question de la cosmologie. Enfin, pour tenir compte des observations concernant l'homogénéité du fond diffus, ce modèle est obligé de spéculer sur un boom infl